La péridurale : oui. Le vernis : non !

A quelques semaines du jour J, il était temps de rencontrer l’anesthésiste, ce gentil monsieur qui aura la délicate mission de me soulager en cas de souffrance insupportable, et de souffrance tout court.

La rencontre s’est faite samedi : « Avez-vous des allergies ? », « Avez-vous déjà été opéré ? », « On va prendre votre tension », … 

Après un bref entretien, la question a été posée : « Voulez-vous la péridurale ?» 

Un grand OUI a été prononcé. 

« Très bien, en revanche, vous devrez enlever ça. » 

Mais de quoi me parle-t-il ? Mon t-shirt ? Mes bijoux ? Eh bien non mesdames, de mon joli vernis OPI Thanks a Windmillion. 

Tout le monde vous le dira, et surtout l’Homme : je suis un peu tarée addict à ce genre de produits de beauté. 

Tout ne rentrait pas sur la photo ...

Ma coiffeuse (petit meuble réservé à moi seule) ressemble à un stand Séphora avec ses meilleures couleurs, déclinées de chez Chanel, OPI, Mavala, Dior et tout autre marque qui présenterait une couleur que je n’aurai pas. 

Des fois, les nuances …

Ok, mais pourquoi faut-il l’enlever ? (En fait, ma vraie question a été : « Pourquoi, vous n’aimez pas ?») 

L’anesthésiste s’est quand même vu me répondre : « Si , si c’est très joli, mais […] c’est par souci d'hygiène et pour faciliter la surveillance de l’oxygénation générale et la coloration de la peau à travers l’ongle. 

Encore une histoire de couleur…

NB : en écrivant ce post, je me fais évidemment les ongles !

NB’ : J’aime ce site OPI et ce blog.